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Marie : ouverture

Octobre, mois du rosaire (2)
le temps se mesure en...






La douce Chaîne qui nous relie à Dieu
Octobre, mois du rosaire (1)


Padre Pio avait presque toujours le chapelet en main. Les Italiens disent : la corona, la couronne. Quiconque a en mémoire la silhouette de Padre Pio est convaincu de cela, comme d’une évidence.
Il est peut-être moins connu que Padre Pio n’a presque rien dit sur la prière du chapelet ; et que les méditations des mystères, que nous connaissons de lui, sont en fait des extraits tirés de ses lettres : Padre Pio n’a jamais écrit de méditation du rosaire.
Alors, en ce mois du rosaire, dans lequel nous entrons résolument à la suite et en compagnie de notre cher saint, fixons simplement notre regard sur la main du Padre, et tendons l’oreille de notre cœur pour écouter une prière à la Vierge de Pompéi, Notre-Dame du Très Saint Rosaire. Padre Pio vénérait beaucoup ce sanctuaire et priait sans aucun doute souvent la supplique à la Madone de Pompéi. Il prie avec nous – et sans doute est-ce la meilleure leçon de prière qu’il puisse nous donner.

Nous implorons de toi, maintenant, une dernière grâce, ô Reine. Tu ne peux nous la refuser. Accorde à chacun de nous ton amour fidèle et ta bénédiction maternelle.
Nous ne nous détacherons pas de toi, jusqu’à ce que tu nous ais bénis.
Bénis, ô Marie, en ce moment, le Souverain Pontife. Aux splendeurs anciennes de ta Couronne, aux triomphes de ton Rosaire, par lesquels tu es appelée Reine des Victoires, ajoute, ô mère, encore ceci : accorde le triomphe à la foi chrétienne et la paix à la terre des hommes. Bénis les Evêques, les prêtres, particulièrement tous ceux qui se dévouent pour l’honneur de ton sanctuaire. Bénis tous les fidèles associés à ton sanctuaire de Pompéi et tous ceux qui pratiquent et diffusent la dévotion au Saint Rosaire.

O Rosaire béni de Marie,
douce Chaîne qui nous relie à Dieu,
lien d’amour qui nous unit aux anges,
tour de salut contre les assauts de l’enfer,
port sûr dans le naufrage commun,
nous ne te lâcherons jamais plus.
Tu seras notre réconfort à l’heure de l’agonie.
A toi sera le dernier baiser de la vie qui s’éteint,
Et la dernière parole sur nos lèvres sera ton doux nom,
ô Reine du Rosaire de Pompéi,
ô notre Mère très chère,
ô Refuge des pécheurs,
ô Souveraine consolatrice des affligés.
Sois partout bénie, aujourd’hui et toujours,
sur la terre et dans le ciel. Amen.
(conclusion de la supplique à Notre-Dame de Pompéi)